Les boulangers ont des problèmes croissants.
Chez Renault la direction fait marche arrière, les salariés débrayent.
A EDF, la situation est sous tension.
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce.
Les dresseurs de pigeons en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs c'est une tuile.
Les menuisiers sont payés avec des chèques en bois.
Les kinés se massent devant les grilles de l'hôpital en revendiquant.
L'on raconte des salades aux épiciers.
Le salaire des coiffeurs frisent le ridicule.
Les cyclistes sont mis au régime sans sel.
Les teinturiers meurent à la tâche et sont payés au rabais.
Les faïenciers en ont raz le bol.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots veulent conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied pour de faibles revenus.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pêcheurs haussent le ton.
Les prostituées sont dans une mauvaise passe.
Les imprimeurs qui sont déprimés font mauvaise impression.
Les fonctionnaires font la grève sur l'état.
Les garagistes se plaignent que leurs caisses soient vides.
Les oiseleurs ont en marre d'être pris pour des pigeons.
Les bouchers ne veulent plus être des cochons de payants.
La révolte des mères au foyer va mettre le feu aux poudres.
Les dentistes sont sur les dents.
Les métalos marchent sur des charbons ardents.
Le banquier a peur que son compte soit bon.
Les manucures fond des pieds et des mains pour s'en sortir.
L'industrie minière est au 36e dessous.
Les vendeuses de lingerie aussi…
L'aéronautique part en vrille.
Les projets de la marine tombent à l'eau.
Le prix du fret maritime coule à pic.
Les psychologues craignent une grande dépression.
Ça chauffe pour les cuisiniers.
Les éleveurs de volailles battent de l'aile.
Pour les cigarettiers, le gouvernement souffle sur les braises.
Les chauffeurs de taxi craignent qu'on ne retrouve pas le chemin de la croissance.
Les éleveurs de moutons en ont assez de se faire tondre.
Les balayeurs mordent la poussière.
Les flics veulent que ça s'arrête.
Les modélistes ne veulent pas porter le chapeau.
Les maitres nageurs ont peur de couler. (à Beuvry c’est fait !)
Les projets des confiseurs partent en sucette.
Et les cafetiers trinquent !