Suite à l’avis avisé de Pugwash dans un style dont lui seul a le secret (vous pouvez toujours essayer de lui filer 5€, il ne lâchera rien !), suite à ce commentaire donc, penchons nous sur l’expression « découvrir le pot aux roses ».
Attention à ne pas confondre avec le pote aux roses ; ce serait absurde !
Quoi que… l’arrivée à la tête du parti par une « non-élection » de ce pote aux roses est déjà un secret en soit. Mais nous aurons bien le temps d’y revenir......
Attention à ne pas confondre non plus avec le poteau rose ; ce serait aussi absurde....
Quoi que cela a son charme....
Et la panthère rose est peut-être passée par là ? 
Et qui sait si avec des poteaux roses cela pourrait même donner envie à certains de courir à nouveau sur les trottoirs de Beuvry et venir nous rapporter quelques brèves de trottoirs ?
Pote aux roses, poteau rose......
Rien de tout cela !!!
Pugwash nous parle bien du « pot aux roses ».
Pour le sens, pas besoin de s’appeler « Maitre Cappello ».
Découvrir « le pot aux roses » c’est tout simplement découvrir un secret… ou une supercherie.
Par contre, il existe plusieurs explications sur les origines de cette expression, mais aucune n’a jamais vraiment été privilégiée.
Encore un mystère à percer ?
Essayons quand même d’en trouver trace dans nos lectures en lieu et place des heures perdues devant le petit écran.
Certaines personnes instruites ont supposé que le « pot aux roses » était le pot dans lequel les femmes conservaient leur fard, que les hommes auraient ensuite découvert, comprenant alors l’utilisation d’artifices. (Ha les tricheuses !)
D’autres pensent que l’expression « découvrir le pot aux roses » proviendrait des billets doux que les hommes déposaient sous les pots de fleurs chez les jeunes femmes, et que leur mari aurait pu découvrir. (Ho !!!)
Selon d’autres encore, il faudrait comprendre le verbe « découvrir » dans le sens de « dévoiler » et non « trouver ». Il s’agirait donc d’un secret qui aurait été dévoilé par une personne chargée de le garder ! (encore un bavard !)
On a aussi sous-entendu que l’expression signifiait « enlever un couvercle » ; celui d’un pot contenant de l’eau de roses, sorte de parfum très utilisé au Moyen Age, et qui s’évapore si on ne le recouvre pas. (ouai, bof...)
Pour les alchimistes, l’expression serait une allusion à la « rose minérale », une sorte poudre, non pas de perlimpinpin, mais une obtenue à partir de l’or et du mercure.
Ce mélange rappellerait la pierre philosophale, un trésor qui n’est toujours pas dévoilé… (et pourquoi pas ?)
Ce qui est sûr, c’est que la rose est depuis bien longtemps symbole de secret !
Pensez donc, la rose (ou la fleur de façon plus générale) est souvent symbole de virginité, et la légende veut que Cupidon ait donné une rose à Harpocrates, le dieu du silence, pour qu’en échange il taise à jamais les amours de Vénus.
Les historiens doivent savoir qu’au XVIe siècle on gravait des roses sur les confessionnaux et on en sculptait dans les salles de banquets, ce qui devait rappeler aux convives que les confidences qui se feraient durant les repas n’étaient pas à divulguer....
Ce qui n’est pas sans faire penser aux agapes qui suivent la suit la « tenue » des « frères » dans le « temple » ???
Une autre chose est sûre, il ne faut pas confondre le « pot aux roses » avec un simple vase… de Soissons ou d’ailleurs, d’ailleurs !
Et encore moins avec LA VASE (ce qui serait complètement absurde… quoi qu’à Beuvry la vase est aussi une question de secret bien gardé)...
C'est peut-être une chute absurde... mais chut !