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Ce blog est une arme de dérision massive.

Toute ressemblance à des situations ou personnages existants ou ayant existé est totalement… à vous de voir.

Aucun ordinateur n’a été maltraité pour la réalisation de ce blog.

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10 décembre 2011 6 10 /12 /décembre /2011 07:04

 

Les boulangers ont des problèmes croissants.

Chez Renault la direction fait marche arrière, les salariés débrayent.

A EDF, la situation est sous tension.

Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.

Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce.

Les dresseurs de pigeons en ont assez de se faire plumer.

Pour les couvreurs c'est une tuile.

Les menuisiers sont payés avec des chèques en bois.

Les kinés se massent devant les grilles de l'hôpital en revendiquant.

L'on raconte des salades aux épiciers.

Le salaire des coiffeurs frisent le ridicule.

Les cyclistes sont mis au régime sans sel.

Les teinturiers meurent à la tâche et sont payés au rabais.

Les faïenciers en ont raz le bol.

Les éleveurs de chiens sont aux abois.

Les brasseurs sont sous pression.

Les cheminots veulent conserver leur train de vie.

Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.

Les pédicures travaillent d'arrache-pied pour de faibles revenus.

Les ambulanciers ruent dans les brancards.

Les pêcheurs haussent le ton.

Les prostituées sont dans une mauvaise passe.

Les imprimeurs qui sont déprimés font mauvaise impression.

Les fonctionnaires font la grève sur l'état.

Les garagistes se plaignent que leurs caisses soient vides.

Les oiseleurs ont en marre d'être pris pour des pigeons.

Les bouchers ne veulent plus être des cochons de payants.

La révolte des mères au foyer va mettre le feu aux poudres.

Les dentistes sont sur les dents.

Les métalos marchent sur des charbons ardents.

Le banquier a peur que son compte soit bon.

Les manucures fond des pieds et des mains pour s'en sortir.

L'industrie minière est au 36e dessous.

Les vendeuses de lingerie aussi…

L'aéronautique part en vrille.

Les projets de la marine tombent à l'eau.

Le prix du fret maritime coule à pic.

Les psychologues craignent une grande dépression.

Ça chauffe pour les cuisiniers.

Les éleveurs de volailles battent de l'aile.

Pour les cigarettiers, le gouvernement souffle sur les braises.

Les chauffeurs de taxi craignent qu'on ne retrouve pas le chemin de la croissance.

Les éleveurs de moutons en ont assez de se faire tondre.

Les balayeurs mordent la poussière.

Les flics veulent que ça s'arrête.

Les modélistes ne veulent pas porter le chapeau.

Les maitres nageurs ont peur de couler. (à Beuvry c’est fait !)

Les projets des confiseurs partent en sucette.

Et les cafetiers trinquent !

 

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commentaires

H
<br /> Un peu d'humour ne fait pas de mal !<br />
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F
<br /> A toutes les personnes<br /> <br /> <br /> pour qui « I’m loving it ! » (qui aiment ça)<br /> <br /> <br /> et celles pour qui le goût c’est tout !<br /> <br /> <br /> Parce que travailler dans un fast food c’est dur, voilà qui ne va pas rendre la vie des<br /> pauvres équipiers polyvalents plus facile mais vous permettre de mieux comprendre la situation d’un simple coup d’œil circulaire à votre prochaine expédition dans ce monde merveilleux de ma<br /> mal’bouffe.<br /> <br /> <br /> Et parce que ces différents archétypes regroupent 98% de la population, vous aussi vous<br /> pourriez vous retrouver parmi eux.<br /> <br /> <br /> Le(la) malpoli(e) :<br />                 C’est fou comme les gens peuvent être malpoli ma pov’ dam! Et oui, il faut bien avouer que la foi en la<br /> bonté humaine en prend un coup. S’applique à une grande diversité de cas : de celui qui téléphone et ne raccroche même pas, à ceux qui ne disent ni bonjour, ni merci, ni merde.<br /> <br /> <br />                                                <br /> A part pour demander des sauces d’un ton outré, digne des plus grands accusateurs publics « Vous ne m’avez pas donné de sauces! » (l’ensemble du petit personnel payé au<br /> minimum va de ce pas réciter trois pater en se flagellant pour cette faute sous le regard bienveillant du manager).<br /> <br /> <br />                                                <br /> Pour lui vous n’êtes qu’une machine, un robot indigne de la moindre attention voire même regard.<br /> <br /> <br />                                                <br /> Malheureusement, le malpoli peut aussi cumuler les tares.<br /> <br /> <br /> L’indécis(e) :<br />                         Voilà qui peut prêter à rire. Après tout, personne n’est<br /> censé connaître par coeur l’offre du restaurant (bien que nul ne soit censé ignorer les promos annoncés à la télé chaque soir avant 20h30).<br /> <br /> <br />                                                <br /> Mais l’indécis(e) arrive souvent au moment critique : 22h30, une queue de 30 mètres laissant supposer que la personne a BIEN eu le temps de réfléchir et veut en finir! Que nenni mes<br /> amis!<br /> <br /> <br />                                                <br /> Dès l’instant du « Bonjour », sa tête se courbature pour regarder les panneaux, son air devient soucieux, bref, la réflexion commence et se poursuit par d’innombrables questions<br /> sans réponses. Gouttes de sueur garanties…<br /> <br /> <br /> Le(la) difficile :<br />                      Qui veut un Royal Bacon sans bacon (véridique). Naïvement on a toujours<br /> cru que quand on aimait pas les cornichons ou les tomates, on ouvrait le sandwich et les retirait délicatement en se léchant les doigts après.<br /> <br /> <br />                                                <br /> Et bien non, on peut demander. Même si la GSPEP (Gentille, Souriante et Patiente Equipière Polyvalente) essaie subrepticement de vous décourager « Il va falloir attendre », rien<br /> n’y fait. Et nous on doit prendre les commandes suivantes et s’en rappeler.<br /> <br /> <br /> Le(la) pressé(e) :<br />                  On fait 15 min de queue à l’heure de pointe (celle où vous courez partout), passe sa commande et<br /> ajoute « Par contre je suis pressé(e)!, j’ai un train! ». Ah d’accord alors pour vous je vais essayer d’arrêter d’être la larve paresseuse que je suis. Avec un peu de chance c’est<br /> le même moment où trois difficiles attendent leurs sandwichs.<br /> <br /> <br /> Le(la) culpabilisateur(trice) : commande et commente. « Ah quand même<br /> c’est cher, vous vous faites pas chier! Vous pourriez bien me donner un petit quelque chose en plus! ». Et bien oui, on vous donne un sourire en plus, et gratis !<br /> <br /> <br /> Le(la) suspicieux(se) ou pointilleux(se) à tendance grincheuse : trouvera toujours<br /> quelque chose à redire, une micro-tache sur le plateau, une serviette qui manque, des frites froides qu’il faut changer. S’il(elle) prend à emporter, vérifiera toujours longuement devant vous (et<br /> les 15 personnes derrière) le contenu de son sac. Gare à toi s&rsq<br />
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S
<br /> <br /> Ha la "restauration" rapide !<br /> <br /> <br /> Quelle invention !<br /> <br /> <br /> <br />
U
<br /> les cafetiers trinquent : et Casimir dans tout ça ? <br />
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S
<br /> <br /> Casimir ? Il est peut-être coincé dans les bouchons ?<br /> <br /> <br /> On ne sais jamais où l'attendre celui là.<br /> <br /> <br /> Il va bien finir par se montrer !<br /> <br /> <br /> <br />
X
<br /> Excellent !<br />
Répondre